20 juillet 2010
Thyene imperialis
Elle faisait sa sieste à l'ombre dans sa loge de soie tandis-que nous marchions sous la canicule le long des falaises de l'île de Santorin... Mais je suis incorrigible: il a fallu que je frappe à sa porte pour la rencontrer, savoir qui elle était, voir sa bouille et ses yeux aussi étonnés que les miens.
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