Au fil des herbes...

Au plus profond de la prairie, une étrange sentinelle...

Geomyza tripunctata (Opomyzidae) transportant des acariens.

autrement dit "Un taxi-mouche pour acariens"

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Comments

[Lisette]

bonjour Anna, contente d'avoir eu ton petit mot ! je retrouve ton blog avec plaisir, je l'avais perdu de vue, très prise par mon job et par le manque de mémoire aussi ! Tes nouvelles photos sont magnifiques. Je n'ai jamais vu de blog aussi passionnant que le tien, sur la Nature. Bravo et à bientôt désormais. Lisette - si tu ne me vois pas apparaître, n'oublie pas de venir me gronder !

[x Z x]

hé hé un taxi mouche qui fume de l'herbe... et bien finalement le monde du microcosme nous ressemble un peu :D

[Lisa]

Un taxi-mouche ! Ca alors ! Cette photo est vraiment super be ! Bravo !
Biz
Lisa

[Annick]

... que cette mouche gagne son pain en faisant le taxi... je gagne le mien assise devant un ordinateur... et je lis Mister Uni_Vert.. qui une fois de plus nous laisse dans l'attente de la suite...

[Uni_Vert]

Elle est très jolie cette photo. Et pourtant je sèche. Pas ou si peu d' inspiration. Pas même les dragibus qu' elle transporte sous ses jupons ne parviennent à éveiller en moi autre chose qu' une indéniable gourmandise.C' est pourquoi, par manque de "flow" monocorde, je vais te proposer ici la toute première chanson de ma future comédie musicale. Un spectacle basé sur des reprises réinterprétées à ma façon...

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C'ui qui s' la raconte:
"Il y a bien longtemps, un crapaud variqueux bien trop variqueux s' ennuyait ferme dans une fosse à purin. Ce crapaud variqueux bien trop variqueux..."

Julie:
"T' es gentil vieux ! J' me suis pas levée à cinq heure du matin, une demi-heure de stop, coltinée deux heures de métro et trois mains aux fesses pour m' entendre raconter une histoire réservée aux petits enfants. J' veux du lourd moi. Ou bien alors, tu n' as qu' à parler de moi tiens !"

C'ui qui s' la raconte:
"Pardon jeune fille? PARDON JEUNE FILLE ? Mais vous savez à qui vous vous adressez? Vous savez qui je suis ?"

Julie:
"Ouais, t' es un con. J' te demande pourtant pas des prouesses. Juste de parler de moi. Parce que tous ces gens là qui te lisent. Y z' attendent qu' une chose. Que tu leur donne du bonheur. Et s'il veulent du bonheur, du bien-être, ben y' a pas mieux que ce sujet là pour les contenter."

C'ui qui s' la raconte (après un instant de réflexion):
"Ben mince alors ! T'es vraiment pas bête toi dis-donc. Mais tu sais que t' aurais pu être coiffeuse ou caissière à Prisunic? Faut pas m' en vouloir mais tu sais, en ce moment j' ai pas vraiment la tête sur les épaules. Quand à mes yeux, eux, les pauvres, ils dégoulinent d' envie de se poser sur tes fesses.Écoutes, tu vas t' allonger sur la paillasse là, juste derrière toi, et alors je commencerai; Tu es partante?"

Julie:
"Pas de probleme.
(et après un très court laps de temps) Ayéééé !!!

C'ui qui s' la raconte:
Bon, alors heu, c'est l' histoire de Julie que tous le monde nommait "J't'humilie Julie". Elle avait un beau regard océan sur une peau hâlée juste ce qu' il fallait, planquée sous une coiffure aux brindilles dorées. Mais un soir qu' elle était dans son lit et que dans la cité les mobylettes hurlaient comme à l' accoutumée...